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18 mars 1990, Boston.
Après des mois de préparation, vous entrez dans le musée et en sortez une heure et demie plus tard les poches pleines, sans que personne ne remarque rien : mission accomplie. Vous avez réussi le casse du siècle et les dessins, peintures, sculptures et antiquités débordent de l’entrepôt ! Mais maintenant, la partie la plus difficile commence… Dans Art Robbery, vous incarnez tous des voleurs d’art qui vont devoir se partager le butin de leur dernier exploit.
Au programme : quatre tours de jeu pour affronter vos adversaires et tenter d’obtenir la plus grosse part du gâteau. Piquez le butin sous le nez de vos compagnons de jeu, protégez le vôtre, et rassemblez suffisamment d’alibis au cours de la partie pour ne pas vous faire prendre par le FBI, ou gare à l’élimination ! Une bonne dose de stratégie et d’interaction dans ce jeu hautement compétitif : que le meilleur voleur l’emporte !
Terminez la partie avec le plus de points à la fin des quatre manches. Mais n’oubliez pas de récolter des Alibis pour que la police ne vous attrape pas !
Reiner Knizia est l’un des concepteurs de jeux les plus célèbres au monde. Il a étudié les mathématiques à l’université d’Ulm, a obtenu une maîtrise en sciences à l’université de Syracuse aux États-Unis et a poursuivi ses études en obtenant un doctorat. Mais sa véritable vocation a commencé bien plus tôt, puisque Reiner a développé ses premiers jeux personnels à l’âge de huit ans. Entre-temps, il a écrit plus de 700 jeux. Il a également remporté les prestigieux prix Spiel des Jahres et Kinderspiel des Jahres. Art Robbery est le quatrième jeu de Reiner Knizia à être publié par Helvetiq, après Kariba, Kartel et ZenMaster.
Petra Eriksson est une illustratrice et artiste suédoise basée à Barcelone. Dans son travail, elle aime jouer avec les couleurs vives et mélanger les formes organiques et graphiques
| Créé par | Reiner Knizia |
| Illustré par | Petra Eriksson |
| Édité par | Helvetiq |
| Difficulté | Simple |
Très bon jeu d'ambiance ! ça s'énerve autour de la table et ça rigole fort !
La maîtrise est difficile, parce qu'on se vole les bons points les uns les autres mais il y a quand même une part de stratégie.
On l'a depuis 1 an et on le ressort de temps en temps avec toujours le même plaisir.
Il ne suffit pas d'être doué dans l'art de dérober des œuvres d'art, encore faut-il arriver à les conserver, et surtout avoir un bon alibi !
Tout à fait d'accord avec Rachel, à jouer à un rythme soutenu (effréné ?) pour se piquer et repiquer les œuvres d'art avec animation et exaltation !
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